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Le préjudice d'anxiété des militaires

reconnu par le conseil d’État

 

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https://www.mdmh-avocats.fr/2022/03/30/le-prejudice-danxiete-des-militaires-reconnu-par-le-conseil-detat/

 

 

 

Hausse du budget des armées: coup d'envoi des débats à l'Assemblée nationale

+40% pour le budget des armées : comprenez-vous cette hausse?

AFP, publié le lundi 22 mai 2023 à 17h12

Le ministre des Armées Sébastien Lecornu a défendu lundi devant l'Assemblée nationale le besoin d'une enveloppe de 413 milliards d'euros sur sept ans, pour la "réparation d'un outil" de défense "abîmé" et pour "transformer" certaines fonctions des armées.

En ouverture des débats dans l'hémicycle sur le projet de loi de programmation militaire 2024-2030 (LPM), le ministre a soutenu un texte qui "ne propose pas une rupture fondamentale avec notre modèle historique", mais suggère de l'"adapter" dans un contexte de "compétition plus dure entre grandes puissances, sur fond de prolifération nucléaire".

Le texte doit "poursuivre une réparation d'un outil de défense abîmé dans le passé par des politiques court-termistes", a encore affirmé le ministre.

Anticipant les critiques des oppositions qui dénoncent des effets d'annonce, le ministre a invité les députés à "un moment de vérité politique", et à un débat "modèle contre modèle". 

Si les 413,3 milliards promis constituent une nette hausse par rapport à la précédente loi (295 milliards pour 2019-2025), les oppositions entendent attaquer le texte par plusieurs fronts, notamment par le sujet des 13,3 milliards qui dépendront de ressources extra-budgétaires. "Elles ont toujours existé", a martelé M. Lecornu. 

Les opposants à cette LPM lui reprochent également de repousser les hausses de budget les plus importantes après 2027, et la fin du second quinquennat Macron. 

Critiquant ceux qui ont "réduit les budgets de nos armées quand ils étaient aux responsabilités", une allusion aux LR et aux socialistes, le ministre a souligné que les hausses budgétaires accordées aux armées ont débuté dès le précédent quinquennat.

"Nos dépenses militaires doivent rester soutenables pour nos finances publiques", a-t-il aussi insisté, alors que l'opposition entend contraindre le gouvernement à investir davantage pendant ce quinquennat. 

M. Lecornu a également avancé que les investissements étaient définis "en fonction du besoin" des armées et "de la capacité de nos industriels à produire". 

Le texte doit permettre de moderniser la dissuasion nucléaire, d'améliorer le traitement des troupes, et aussi d'investir dans le cyber, le spatial et les fonds marins. Une trentaine de milliards doivent couvrir l'inflation. 

Mais la LPM entraînerait aussi un décalage de livraisons de plusieurs équipements majeurs (blindés Scorpion, avions Rafale, frégates de défense et d'intervention...), ce qui inquiète dans l'opposition. 

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La loi de programmation militaire

2024-2030 : les grandes orientations


 

Dans un contexte de ruptures technologiques, de réarmement et de contestation explicite des principes du droit international, la loi de programmation militaire 2024-2030 porte l’ambition d’un modèle rénové pour nos armées. Véritable projet politique et militaire de transformation, cette loi est au service d’une France souveraine qui défend son autonomie stratégique.

 

Sébastien Lecornu a présenté mardi 4 avril, en Conseil des ministres, le projet de loi de programmation militaire (LPM) 2024-2030. Avec un budget de 413 milliards d’euros, cette LPM porte l’ambition de transformer les armées pour permettre à la France de faire face aux nouvelles menaces et de maintenir son rang parmi les premières puissances mondiales.

 

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OUVRAGE A LIRE CLIC SUR L'IMAGE

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La Loi de Programmation Militaire sacrifie l’armée de terre dont la vocation n’est visiblement plus de combattre...

lien ici

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LES EMBLÈMES DANS L’ARMÉE

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In memoriam

 

Le 11 novembre 2019, dans le parc André-Citroën (Paris 15ème arr.), a eu lieu l’inauguration par le Président de la République du monument aux morts pour la France en opérations extérieures. Tous les militaires ayant reçu la mention « Mort pour la France », depuis 1963, dans une opération qualifiée d’OPEX par arrêté ministériel, sont inscrits sur le mur du monument. Une OPEX est une intervention des forces militaires françaises en dehors du territoire national.

 

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Lettre du chef d’état major des Armées

N° 54

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  1. L’École Militaire Préparatoire Technique

  2. dévoile son insigne
     

Après une première rentrée réussie  il y a quelques jours à Bourges, la nouvelle “EMPT” nous dévoile son insigne. Reprenant les traditions des écoles militaires préparatoires historiques, l’insigne est fièrement porté sur les uniformes de l’encadrement et des élèves. Retrouvez la signification et la symbolique des éléments qui ont conduit à cette création.

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L’armée de Terre parle de recruter 10 000

jeunes par an pour effectuer un service

militaire de six mois

 

Si la technologie joue un rôle important dans la guerre en Ukraine, la « masse » fait également partie des facteurs de supériorité opérationnelle. « Les deux sont nécessaires et complémentaires », a souligné le général Pierre Schill, le chef d’état-major de l’armée de Terre [C E M A T], lors d’une audition à l’Assemblée nationale, le 20 juillet [et donc le compte-rendu a récemment été publié, n d l r].
 

 

Mais cela ne fait pas tout… Ainsi, l’amiral américain Arleigh Burke conseillait-il d’ajouter une « brassée de sabres » à l’armement des « destroyers » auxquels il a donné son nom… En clair, la technologie est une chose… mais sans la force morale, c’est à dire sans la combativité du soldat, du marin ou de l’aviateur, son apport s’en trouvera limité. « La force de la cité ne réside ni dans ses remparts, ni dans ses vaisseaux, mais dans le caractère de ses citoyens », disait Thucydide…
D’ailleurs, le président Macron a repris cette citation de l’historien grec pour illustrer l’importance de la force morale, à laquelle il a consacré quasiment la moitié de l’allocution qu’il a prononcée à l’Hôtel de Brienne le 13 juillet dernier. Et à cette occasion, il a aussi demandé aux Armées de donner une « nouvelle ambition » à « nos réserves », en donnant l’objectif de « doubler le volume de la réserve opérationnelle ».
Pour la seule armée de Terre, cela signifie qu’il lui faut recruter 24’000 réservistes opérationnels supplémentaires… et de déterminer la nature des missions qui leur seront confiées.
« Je tiens à trancher, au sein de l’armée de Terre, la question de savoir si la réserve est une armée à part, chargée de missions à part, ou si elle est une partie de l’armée de Terre exécutant les mêmes missions que les autres. Il incombe aux divers échelon de responsabilité, notamment à l’échelon régimentaire, d’en décider », a déclaré le général Schill, lors de son audition à l’Assemblée nationale.
En tout cas, le C E M A T a son idée sur cette question. « Je défends une autre vision de l’emploi de nos 24’000 réserviste. L’armée de Terre a a des ressources, composées des hommes et des femmes d’active, ainsi que des hommes et des femmes de réserve. Avec ces ressources, elle accomplit ses missions. S’il se trouve que, dans l’environnement des Jeux olympiques de 2024, la 3e compagnie d’active du 3e Régiment de Parachutistes d’Infanterie de Marine [R P I Ma] est déployée avec des réservistes en son sein parce que le chef de corps en a décidé ainsi, tant mieux ! Ce modèle est celui d’une réserve pleinement intégrée », a-t-il dit aux députés.
Et d’insister : « Plutôt que de cantonner les unités de réserve dans un métier de base de l’armée de Terre – l’infanterie légère, pour faire très court –, on pourrait faire le choix de les spécialiser dans le métier de chaque régiment, par exemple en affectant un escadron de reconnaissance à chaque régiment de cavalerie ou une unité de franchissement à chaque régiment du génie ».
Quoi qu’il en soit, passer de 24’000 à 48’000 réservistes opérationnels suppose de revoir l’organisation des unités et, surtout, de faire un effort en matière de recrutement et de formation, d’autant plus que le général Schill a défendu l’idée de « faire le nécessaire pour professionnaliser » la réserve opérationnelle de l’armée de Terre.
Or, d’après le C E M A T, « pour déployer une compagnie de réserve sur le territoire national dans le cadre de la mission Sentinelle, il faut investir […] trente jours de formation par militaire et de nombreux autres pour chaque échelon. Tout cela pour qu’une telle compagnie ne soit disponible qu’une quinzaine de jours par an, compte tenu de la possibilité de ne mobiliser chaque réserviste que trente jours par an. Par conséquent, la volonté d’augmenter l’activité des unités de réserve induit une déperdition des activités de la réserve du point de vue opérationnel ».
La solution la plus évidente pour tenir l’objectif fixé par le président de la République tout en étant la plus rationnelle au niveau de l’efficacité militaire serait « d’employer la réserve opérationnelle de deuxième niveau [RO2] dans le cadre de l’obligation de service de cinq ans applicable à quiconque quitte les armées, soit 15’000 personnes chaque année pour l’armée de Terre », a fait valoir le C E M A T. Seulement, elle ne permettrait pas de renforcer le lien « armée-nation », qui est aussi une priorité.
Aussi, a-t-il continué, il faudrait « recruter des jeunes qui ne souhaitent pas consacrer leur vie à la défense ni devenir soldats professionnels ». Qui plus est, « ces jeunes soldats à temps partiel présente[raient] des avantages du point de vue de la résilience de la Nation. On peut supposer que, ayant accompli dans leur vie une démarche d’engagement, ils se proposeront pour apporter leur aide dans une situation difficile ou catastrophique. Par ailleurs, les recruter permet une forme de brassage, notamment géographique », a ajouté le général Schill.
D’où la proposition qu’il a soumise au ministre des Armées, Sébastien Lecornu, et au général Thierry Burkhard, le chef d’état-major des armées [C E M A]. Proposition qui viendrait s’ajouter aux dispositifs existants, comme le Service militaire volontaire [SMV], qui a une vocation davantage tournée vers le social, au même titre que le Service militaire adaptée [S M A] dont il s’est inspiré.
« J’ai donc proposé […] que l’armée de Terre recrute 10’000 jeunes par an dans le cadre d’un service de six mois, qui servirait d’instrument pour augmenter les effectifs de la réserve. Comme nous ne pouvons pas le faire à organisation inchangée, je lui proposerai d’implanter de nouveaux bataillons dans de nouveaux espaces, que nous pourrions appeler ‘Volontaires du territoire national' », a-t-il expliqué aux députés.
Seulement, 10’000 « volontaires du territoire national » représentent l’équivalent – environ – vingt bataillons. Ce qui suppose de disposer des casernes nécessaires [au plus une dizaine, n  d l r]… Or, avec les réformes conduites entre 2008 et 2015, beaucoup ont été cédées – souvent pour l’euro symbolique – aux collectivités locales… Ce qui a créé des « déserts militaires ».
S’agissant de ces « nouveaux espaces », le général Schill a expliqué qu’ils pourraient être implantés à « proximité d’agglomérations importantes dans un désert militaire, mais aussi [dans] un bassin de population où se trouvent des jeunes susceptibles d’être intéressés par un service de six mois ou par un engagement dans la réserve pas trop loin de chez eux. » Et d’ajouter : « Faire appel à eux permettrait aussi de territorialiser une partie de l’armée de Terre. Ces unités pourraient, en effet, être des unités territoriales, placées sous le commandement de l’officier général chargé de la zone de défense correspondante ».
Le C E M A T a dit avoir chiffré le coût d’une telle proposition… mais il s’est gardé de le préciser aux députés. « Il faut financer des infrastructures, peut-être en lien avec les collectivités territoriales, qui doivent en tirer un bénéfice localement, et assumer un coût de fonctionnement qui n’est pas négligeable, dès lors que 2000 cadres et gradés d’active sont nécessaires », a-t-il seulement indiqué. En outre, a-t-il fait valoir, ce projet « pourrait aussi constituer une contribution de l’armée de Terre à la phase trois du service national universel [S N U] pour, in fine, intéresser tous les jeunes ».
Quoi qu’il en soit, et du seul point de vue de l’efficacité militaire, le général Schill n’est pas favorable à un retour de la conscription. La « priorité étant de garantir l’efficacité opérationnelle, je considère […] que le recours à des soldats professionnels est la bonne solution en matière d’opérationnalisation de l’outil militaire. Du point de vue de la nécessité de se préparer à une forme de menace ou d’action sur le territoire national, […] la bonne solution est la réserve, à hauteur de quelques dizaines de milliers de personnes, même si son organisation actuelle n’est pas optimale », a-t-il dit.
Et d’insister : « Généraliser la conscription, du point de vue de l’efficacité militaire, je n’y suis pas favorable, non sans être conscient de son intérêt pour diffuser l’esprit de défense, assurer le brassage des populations et satisfaire la volonté d’engagement de la jeunesse » car « si on fait du militaire, avec de l’encadrement militaire, il faut viser une finalité militaire. Sinon, il s’agit d’une pièce de théâtre, consistant à faire comme si on était à l’armée, en faisant semblant de donner et d’exécuter des ordres ».

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LE CAMP MILITAIRE  DE SISSONNE

A L’ÉCOLE DU COMBAT URBAIN

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AVOIR L’ORGANISATION DU DÉFILÉ 2022

 

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CAMERONE 2022

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La France et ses partenaires européens

se retirent militairement du Mali

Poussés dehors par les "obstructions" de la junte au pouvoir à Bamako, la France et ses partenaires européens ont officialisé jeudi leur retrait militaire du Mali au terme de neuf ans de lutte antijihadiste menée par Paris, tout en affirmant vouloir rester engagés auprès des pays sahéliens et du golfe de Guinée.

"En raison des multiples obstructions des autorités de transition maliennes, le Canada et les états européens opérant aux côtés de l'opération (française) Barkhane et au sein de la Task Force Takuba estiment que les conditions ne sont plus réunies pour poursuivre efficacement leur engagement militaire actuel (...) au Mali et ont donc décidé d'entamer le retrait coordonné du territoire malien de leurs moyens militaires respectifs dédiés à ces opérations", soulignent-ils dans une déclaration conjointe.

"Nous ne pouvons pas rester engagés militairement aux côtés d'autorités de fait dont nous ne partageons ni la stratégie ni les objectifs cachés", et qui ont recours à "des mercenaires de la société (russe) Wagner"  aux "ambitions prédatrices", a fait valoir le président français Emmanuel Macron lors d'une conférence de presse aux côtés des présidents sénégélais, ghanéen et du Conseil européen. Les autorités maliennes continuent de nier la présence de ces mercenaires sur leur territoire.

Paris et ses partenaires souhaitent toutefois "rester engagés dans la région" sahélienne et "étendre leur soutien aux pays voisins du Golfe de Guinée et d'Afrique de l'Ouest" pour contenir la menace jihadiste. Les "paramètres" de cette réorganisation seront arrêtés "d'ici juin 2022", selon la déclaration conjointe.

"Nous comprenons cette décision", a déclaré Macky Sall dans une conférence de presse commune avec le président Emmanuel Macron. "La lutte contre le terrorisme au Sahel ne saurait être la seule affaire des pays africains (...). Nous sommes heureux que l'engagement ait été renouvelé de rester dans la région et de réarticuler le dispositif", a-t-il ajouté, alors que le départ français risque potentiellement d'ouvrir des perspectives aux jihadistes. 

Le Sahel et le Golfe de Guinée sont des "priorités de la stratégie d'expansion" des organisations jihadistes Al-Qaïda et Etat islamique, a souligné Emmanuel Macron.

- coopérations régionales renforcées -

La France est militairement présente depuis 2013 au Mali, proie des groupes jihadistes qui sévissent aussi dans d'autres Etats sahéliens. Paris est intervenu pour enrayer la progression des groupes islamistes radicaux menaçant Bamako et a ensuite mis sur pied une vaste opération régionale, Barkhane, déployant des milliers de soldats pour lutter contre les franchises locales d'Al-Qaïda et du groupe Etat islamiMais malgré des victoires tactiques, le terrain n'a jamais été véritablement repris par l'Etat malien et ses forces armées. 

Facteur aggravant, le gouvernement malien a été renversé lors d'un double coup d'Etat en 2020 et en 2021, aboutissant à l'arrivée au pouvoir d'une junte qui refuse d'organiser des élections avant plusieurs années et qui surfe sur un sentiment antifrançais croissant dans la région.

Le chef de l'Etat "récuse complètement" l'idée d'un échec français au Mali, a-t-il réagi jeudi.

"Que se serait-il passé en 2013 si la France n'avait pas fait le choix d'intervenir? Vous auriez à coup sûr un effondrement de l'Etat malien", a-t-il fait valoir, en ajoutant qu'"ensuite nos militaires ont obtenu de nombreux succès", dont l'élimination de l'émir d'Al Qaïda au Maghreb Islamique (Aqmi) en juin 2020.

Quelque 25.000 hommes sont actuellement déployés au Sahel, dont environ 4.300 Français (2.400 au Mali dans le cadre de Barkhane), selon l'Elysée. Le pays accueille aussi 15.000 soldats de l'ONU au sein de la Minusma.

Concrètement, la fermeture des dernières bases françaises au Mali (Gao, Ménaka et Gossi) prendra de "4 à 6 mois" a détaillé Emmanuel Macron.

"Pendant ce temps (...) nous allons continuer d'assurer les missions de sécurisation de la Minusma", qui continuera de bénéficier d'un soutien aérien et médical français sur place, avant le transfert ultérieur de ces moyens, a-t-il assuré.

Des militaires européens participant au groupement de forces spéciales Takuba "seront repositionnés aux côtés des forces armées nigériennes dans la région frontalière du Mali", a-t-il précisé. Le Niger héberge déjà une base aérienne et 800 militaires français. 

Le Mali était au cœur du dispositif antiterroriste français et européen au Sahel. Emmanuel Macron avait déjà décidé d'amorcer à l'été 2021 une réduction des effectifs français au profit d'un dispositif régional moins visible, mais ce départ contraint du pays force Paris à accélérer cette réorganisation dans d'autres pays de la région menacés par la contagion jihadiste. En s'efforçant de rendre la présence française moins visible. 

"Il s'agit de nous recentrer sur les demandes de nos partenaires là où notre contribution est attendue, toujours en soutien et encore davantage intégrée (...) Nous définirons dans les semaines et mois qui viennent l'appui que nous apporterons à chacun des pays de la région sur la base des besoins qu'ils auront exprimés", et "cet appui pourra inclure de l'aide en matière de formation et d'entraînement, de la fourniture d'équipements, voire un appui à leurs opérations contre le terrorisme", a conclu M. Macron.

Depuis 2013, 53 soldats français ont été tués au Sahel, dont 48 au Mali.

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Protéger le secret de la

défense nationale

 

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Sahel : Les militaires français ne seront plus que 3.000 mi-2022

 

La France aura réduit d’ici six mois son contingent au Sahel à 3.000 hommes, contre plus de 5.000 il y a quelques semaines, dans le cadre d’une vaste réorganisation de son dispositif militaire, dévoile le commandant de l’opération antidjihadiste Barkhane, le général Laurent Michon. La première phase, le désengagement de l’extrême nord malien (Tombouctou, Kidal, Tessalit), est en train de se terminer. Sur ces sites, le rapport de force militaire reste inchangé car les forces françaises ont été relevées par les forces maliennes (Fama).

La deuxième phase va débuter au prochain semestre : il s’agira de réarticuler à la fois le commandement et les forces, essentiellement au Mali. Et la transformation ne s’arrêtera pas là : « Il y aura beaucoup moins de forces conventionnelles et plus de forces spéciales dédiées au partenariat de combat, réunies au sein de la force européenne Takuba. Aujourd’hui, elle compte quasiment 900 hommes et les Européens continuent de frapper à la porte. C’est un succès politique pour le Sahel et le Mali de voir ces Européens s’engager à nos côtés », décrit Laurent Michon.

Des menaces contre lesquelles s’adapter

L’EIGS (Etat islamique au grand Sahara) est en recomposition après l’élimination de certains chefs, et une hiérarchie doit être reconstruite. « C’est du temps gagné pour les forces maliennes et nigériennes. On peut espérer qu’il ne se recompose pas aussi facilement que cela même si je suis persuadé qu’il y arrivera. Le risque dans cette phase, c’est encore plus de violence de la part de ces petits chefs », note Laurent Michon.

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L'E.E.T.A.T. RECRÉÉE

voir le tertio du message

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GÉNÉRAL BURKHARD

CHEF D’ÉTAT MAJOR DES ARMÉES

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Afghanistan : un premier avion militaire rapatriant des Français de Kaboul atterrira ce lundi soir à Abou Dhabi

Un pont aérien est mis en place par la France entre Kaboul et la base d’Al Dhafra. Deux avions militaires de l’opération Apagan pouvant transporter chacun 200 personnes y sont dévolus.

Après la chute de Kaboul entre les mains des talibans, la France a lancé dimanche l’opération « Apagan » d’évacuation de ces derniers ressortissants. Deux avions de transport de l’Armée de l’Air, un C130 et un A400M, ont décollé dimanche soir et ce lundi matin de la base aérienne d’Orléans, direction la base aérienne 104 d’Al Dhafra, installée depuis 2008 aux Émirats arabes unis (EAU).

Nombre d’allers-retours pas encore déterminé

À bord du C130 et de l’A400M d’Apagan, plusieurs équipages qui se relaieront le temps de la mission, du fret, du matériel de protection et de soutien médical ont été embarqués. Un premier avion quittera Abou Dhabi dans la journée pour Kaboul où 200 personnes monteront à bord avant d’être rapatriées aux Émirats.

Un premier avion transportant des Français quittera Kaboul ce lundi, a confirmé la ministre des Armées Florence Parly sur France Info. « Nous planifions de faire la première rotation d’ici la fin de ce lundi », a déclaré la ministre sur France Info, précisant qu’il y avait « plusieurs dizaines » de Français à évacuer, dont le personnel diplomatique, ainsi que des « personnes qui sont sous notre protection ».

Dès le mois d’avril, face à l’avancée des troupes talibanes dans de nombreuses provinces, le ministère des Affaires étrangères avait encouragé les Français à rentrer. Un avion avait été affrété le 16 juillet, avec à son bord des Afghans et leurs familles. Mais des Français n’avaient pas souhaité quitter le sol afghan.

Nombre d’allers-retours pas encore déterminé

À bord du C130 et de l’A400M d’Apagan, plusieurs équipages qui se relaieront le temps de la mission, du fret, du matériel de protection et de soutien médical ont été embarqués. Un premier avion quittera Abou Dhabi dans la journée pour Kaboul où 200 personnes monteront à bord avant d’être rapatriées aux Émirats.

Les moyens de l’ambassade de France ayant été déplacés à l’aéroport international de Kaboul dimanche, c’est là que, malgré le chaos ambiant, le personnel consulaire délivrera dans la mesure du possible leurs visas aux Afghans quittant le pays.

Accueillis et hébergés au sein des Forces françaises stationnées aux EAU, les rapatriés seront ensuite transportés vers l’Hexagone à bord d’autres avions militaires français.

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UN NOUVEAU CHEF D’ÉTAT-MAJOR DES ARMÉES
Le général Thierry Burkhard, actuel chef de l’armée de terre, va remplacer le général François Lecointre après la fête nationale du 14 juillet, à compter du 21 juillet. Celui qui dirige les armées françaises depuis juillet 2017, ayant pris le relais ex abrupto du général de Villiers (lire : François Lecointre, nouveau commandant des armées françaises. Les opérations pas le budget), a souhaité quitter ses fonctions cette année, ne souhaitant pas être prolongé. Entre autres, il avait été un des premiers chefs de la mission européenne de formation militaire des FAMA (Lire :EUTM Mali. Une mission à prolonger).
Issu de la Légion, le 2e régiment étranger de parachutistes puis le 4e régiment étranger, le général Burkhard a été un des pivots du centre de planification et de conduite des opérations (CPCO) entre 2015 et 2019 d’abord comme chef de conduite puis commandant du CPCO, après avoir été porte-parole ‘opérations’ de l’état-major des armées (de 2010 à 2013) et conseiller militaire du coordonnateur national du renseignement (Alain Zabulon)

UN AUTRE LÉGIONNAIRE A L’ÉTAT-MAJOR PARTICULIER DU PRÉSIDENT
Le colonel Jean de Monicault va devenir le prochain adjoint au chef d’état-major particulier du président de la République (Emmanuel Macron). Il remplacera à compter du 1er juillet 2021, le général de brigade Valéry Putz (1). Ce légionnaire, a fait une bonne partie de sa carrière au 2e REP, le régiment étranger de parachutistes, basé à Calvi (onze ans en tout), avant d’en être le chef de corps. Il rejoint l’état-major de l’armée de terre, notamment comme adjoint au chef du bureau « programmation-finances-budget ». Durant sa carrière il a servi sur plusieurs d’opérations en Côte d’Ivoire, en Bosnie-Herzégovine, en Macédoine, en Afghanistan (au sein de la task-force Lafayette) et au Mali (Biographie en pièce jointe).
L’aide de camp
Quant au poste d’aide de camp (Terre), un autre poste clé, car il accompagne tout le temps le chef d’État, dans ses déplacements, et doit être disponible, de jour comme de nuit, pour les tâches les plus importantes, comme les plus humbles, il va être confié au lieutenant-colonel Cédric Lavisse qui vient remplacer le colonel Vincent Minguet (2). Issu de l’infanterie de marine, Lavisse a notamment servi dans les forces armées en Guyane (FAG) à la tête de la section des commandos de recherche et d’action en jungle (CRAJ).
L’état-major particulier, un rôle clé
Dans la hiérarchie militaire française, le chef d’état-major particulier occupe un poste clé. C’est en fait le conseiller en chef et le ‘cerveau’ militaire du président de la République qui est, constitutionnellement, le Chef des Armées. Il y a plusieurs aides de camps, représentant chacun des grands corps de l’armée (Air, Terre, Mer).<![endif]>La nouvelle a été officialisée par deux arrêtés publiés au journal officiel.
Le colonel Vincent Minguet va prendre le commandement du 27e B.CA. (bataillon de chasseurs alpins) à compter du 27 août, lors d’une cérémonie de passation des pouvoirs avec le col. Ivan Morel, actuellement déployé au Mali dans le cadre de l’opération Barkhane.
 
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REVUE DE PRESSE DE LA DÉFENSE

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DÉFILÉ DU 14 JUILLET

Après une cérémonie restreinte l'an dernier, Covid-19 oblige, le traditionnel défilé militaire de la fête nationale du 14 Juillet aura bien lieu cette année à la faveur d'une décrue de l'épidémie, ont annoncé vendredi ses organisateurs. "Nous sommes dans un contexte plutôt favorable de sortie de crise sanitaire.

Sous réserve qu'elle se poursuive, cette dynamique doit nous permettre un retour au classique, avec un beau 14 Juillet sur les Champs Élysées", a expliqué à l'AFP le gouverneur militaire de Paris (GMP), le général Christophe ABAD.

En 2020, le format du défilé avait été remplacé par une cérémonie restreinte sur la place de la Concorde, avec un hommage particulier aux militaires et soignants mobilisés pendant la crise sanitaire. L'absence de défilé en France le 14 juillet était une première depuis la fin de la Seconde guerre mondiale.

Cette année, les tribunes devraient accueillir environ 25.000 personnes. Les tribunes assises seront occupées sans jauge, dans le respect des gestes barrières. Les tribunes debout seront occupées à raison d'une personne tous les 4 m2. Le grand public devrait être autorisé sur les Champs Élysées.

 

 

Le défilé mobilisera quelque 5.000 participants, dont 4.300 militaires à pied, 71 avions, 25 hélicoptères, 221 véhicules et 200 chevaux de la Garde républicaine. "Gagner l'avenir" sera le thème de cette édition 2021. Une double référence à "la capacité collective de la Nation à dépasser les difficultés liées à la crise sanitaire" et "pour les armées, au fait d'être tournés vers des engagements plus durs, dits de haute intensité, en s'appuyant sur des matériels de haute technologie", détaille le GMP.

Le blindé Griffon, véhicule de transport de troupes de nouvelle génération destiné à remplacer le véhicule de l'avant blindé (VAB), défilera pour la première fois, comme le nouveau camion-citerne blindé CaRaPACE, déployé au Sahel.

 

Dans les airs, le nouvel avion léger de reconnaissance et de surveillance (ALSR), utilisé pour collecter du renseignement, participera pour la première fois au traditionnel défilé aérien ouvert par la Patrouille de France. Parmi les troupes à l'honneur figurera le groupement de forces spéciales européennes Takuba, initiée par la France pour accompagner les forces maliennes au combat et auquel contribuent huit nations (Belgique, Estonie, Italie, Pays-Bas, République tchèque, Portugal, Suède et France).

Ses opérations de coopération étaient toutefois suspendues temporairement depuis jeudi, comme l'ensemble des opérations conjointes franco-maliennes, en réaction à un second coup d'Etat en neuf mois au Mali.

Le Régiment de marche du Tchad (RMT) ouvrira le défilé de l'armée de Terre à l'occasion des 80 ans du "serment de Koufra" prononcé en mars 1941 par le colonel LECLERC aux troupes dont le RMT est l'héritier: "Jurez de ne déposer les armes que lorsque nos couleurs flotteront sur la cathédrale de Strasbourg".

Côté Marine, honneur aux sous-mariniers, avec la présence de l'équipage du sous-marin nucléaire d'attaque (SNA) Emeraude, de retour d'une mission longue de huit mois dans la très stratégique région Indo-Pacifique, dont un passage en mer de Chine méridionale. L'équipage du premier SNA de nouvelle génération Suffren, qui partira en mission à l'automne, sera également convié.

L'armée de l'Air fera défiler son nouveau commandement de l'Espace, ainsi que des aviateurs engagés en début d'année dans la mission Skyros, au cours de laquelle quatre Rafale, deux A400M et un ravitailleurs A330 Phénix ont enchaîné les escales en Inde, aux Emirats Arabes Unis, en Egypte et en Grèce.

 

A l'occasion de ses 60 ans, le Service militaire adapté (SMA), dispositif d'insertion socioprofessionnelle au profit des jeunes ultra-marins, sera représenté, ainsi que le Service de santé des armées (SSA), très mobilisé depuis le début de la crise sanitaire.

 

Le défilé, d'une durée d'environ 2 heures, s'achèvera en musique avec une chorale de 120 "jeunes engagés": lycéens militaires, membres du service civique, des services militaires volontaire (SMV) et adapté, pompiers bénévoles. A l'issue du défilé, plusieurs animations seront proposées aux Franciliens sur l'esplanade des Invalides et dans plusieurs autres arrondissements de la capitale.

 

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BONJOUR

CECI N'EST QU'UNE INFORMATION APRÈS LA LETTRE DES

GÉNÉRAUX 2S EN VOICI UNE 2°

NOUVELLE TRIBUNE

 

Depuis quelques jours, la rumeur courait qu'une nouvelle tribune de militaires allait être dévoilée. Émanant de militaires d'active, elle vient en soutien à celle précédemment publiée sur le site de Valeurs actuelles. Ce texte, qui circule déjà beaucoup et dont les médias se font l'écho, nous avons décidé de le publier ce soir. Et de l'ouvrir, en bas de cette tribune, à la signature des citoyens français qui le trouveraient à la hauteur des enjeux qui sont les nôtres. Tout en continuant, avec une méthodologie exigeante, à nous tenir à la disposition des professionnels des armées qui souhaiteraient y prendre part. Comme la précédente, le but de cette tribune n'est pas de mettre à mal nos institutions mais d'alerter sur la gravité de la situation.

Par valeursactuelles.com

Publié le 9 mai 2021 à 22h18 Mis à jour le 10 mai 2021 à 10h05

 

 

Monsieur le Président de la République,
Mesdames et Messieurs les ministres, parlementaires, officiers généraux, en vos grades et qualités,

On ne chante plus le septième couplet de la Marseillaise, dit « couplet des enfants ». Il est pourtant riche d’enseignements. Laissons-lui le soin de nous les prodiguer :

« Nous entrerons dans la carrière quand nos aînés n’y seront plus. Nous y trouverons leur poussière, et la trace de leurs vertus. Bien moins jaloux de leur survivre que de partager leur cercueil, nous aurons le sublime orgueil de les venger ou de les suivre »

Nos aînés, ce sont des combattants qui ont mérité qu’on les respecte. Ce sont par exemple les vieux soldats dont vous avez piétiné l’honneur ces dernières semaines. Ce sont ces milliers de serviteurs de la France, signataires d’une tribune de simple bon sens, des soldats qui ont donné leurs plus belles années pour défendre notre liberté, obéissant à vos ordres, pour faire vos guerres ou mettre en œuvre vos restrictions budgétaires, que vous avez salis alors que le peuple de France les soutenait.
Ces gens qui ont lutté contre tous les ennemis de la France, vous les avez traités de factieux alors que leur seul tort est d’aimer leur pays et de pleurer sa visible déchéance.

Dans ces conditions, c’est à nous, qui sommes récemment entrés dans la carrière, d’entrer dans l’arène pour avoir simplement l’honneur d’y dire la vérité.

Nous sommes de ce que les journaux ont nommé « la génération du feu ». Hommes et femmes, militaires en activité, de toutes les armées et de tous les grades, de toutes les sensibilités, nous aimons notre pays. Ce sont nos seuls titres de gloire. Et si nous ne pouvons pas, réglementairement, nous exprimer à visage découvert, il nous est tout aussi impossible de nous taire.

Afghanistan, Mali, Centrafrique ou ailleurs, un certain nombre d’entre nous ont connu le feu ennemi. Certains y ont laissé des camarades. Ils ont offert leur peau pour détruire l’islamisme auquel vous faites des concessions sur notre sol.

Presque tous, nous avons connu l’opération Sentinelle. Nous y avons vu de nos yeux les banlieues abandonnées, les accommodements avec la délinquance. Nous avons subi les tentatives d’instrumentalisation de plusieurs communautés religieuses, pour qui la France ne signifie rien -rien qu’un objet de sarcasmes, de mépris voire de haine.

Nous avons défilé le 14 juillet. Et cette foule bienveillante et diverse, qui nous acclamait parce que nous en sommes l’émanation, on nous a demandé de nous en méfier pendant des mois, en nous interdisant de circuler en uniforme, en faisant de nous des victimes en puissance, sur un sol que nous sommes pourtant capables de défendre.

Oui, nos aînés ont raison sur le fond de leur texte, dans sa totalité. Nous voyons la violence dans nos villes et villages. Nous voyons le communautarisme s’installer dans l’espace public, dans le débat public. Nous voyons la haine de la France et de son histoire devenir la norme.

Ce n’est peut-être pas à des militaires de dire cela, arguerez-vous. Bien au contraire : parce que nous sommes apolitiques dans nos appréciations de situation, c’est un constat professionnel que nous livrons. Car cette déchéance, nous l’avons vue dans bien des pays en crise. Elle précède l’effondrement. Elle annonce le chaos et la violence, et contrairement à ce que vous affirmez ici où là, ce chaos et cette violence ne viendront pas d’un « pronunciamento militaire » mais d’une insurrection civile.

Pour ergoter sur la forme de la tribune de nos aînés au lieu de reconnaître l’évidence de leurs constats, il faut être bien lâche. Pour invoquer un devoir de réserve mal interprété dans le but de faire taire des citoyens français, il faut être bien fourbe. Pour encourager les cadres dirigeants de l’armée à prendre position et à s’exposer, avant de les sanctionner rageusement dès qu’ils écrivent autre chose que des récits de batailles, il faut être bien pervers.

Lâcheté, fourberie, perversion : telle n’est pas notre vision de la hiérarchie.
L’armée est au contraire, par excellence, le lieu où l’on se parle vrai parce que l’on engage sa vie. C’est cette confiance en l’institution militaire que nous appelons de nos vœux.

Oui, si une guerre civile éclate, l’armée maintiendra l’ordre sur son propre sol, parce qu’on le lui demandera. C’est même la définition de la guerre civile. Personne ne peut vouloir une situation aussi terrible, nos aînés pas plus que nous, mais oui, de nouveau, la guerre civile couve en France et vous le savez parfaitement.

Le cri d’alarme de nos Anciens renvoie enfin à de plus lointains échos. Nos aînés, ce sont les résistants de 1940, que, bien souvent, des gens comme vous traitaient de factieux, et qui ont continué le combat pendant que les légalistes, transis de peur, misaient déjà sur les concessions avec le mal pour limiter les dégâts ; ce sont les poilus de 14, qui mouraient pour quelques mètres de terre, alors que vous abandonnez, sans réagir, des quartiers entiers de notre pays à la loi du plus fort; ce sont tous les morts, célèbres ou anonymes, tombés au front ou après une vie de service.

Tous nos aînés, ceux qui ont fait de notre pays ce qu’il est, qui ont dessiné son territoire, défendu sa culture, donné ou reçu des ordres dans sa langue, ont-ils combattu pour que vous laissiez la France devenir un Etat failli, qui remplace son impuissance régalienne de plus en plus patente par une tyrannie brutale contre ceux de ses serviteurs qui veulent encore l’avertir ?

Agissez, Mesdames et Messieurs. Il ne s’agit pas, cette fois,  d’émotion sur commande, de formules toutes faites ou de médiatisation. Il ne s’agit pas de prolonger vos mandats ou d’en conquérir d’autres. Il s’agit de la survie de notre pays, de votre pays.

Mise à jour lundi matin, à 10 heures

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ÉCOLE MILITAIRE DE BOURGES

Nouvelle appellation  E M P T

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Covid-19 : sept hôpitaux militaires ouvriront un

centre de vaccination permanent ce mardi

 

Sept des huit hôpitaux d’instruction des armées (HIA) ouvriront un centre de vaccination permanent à compter du 6 avril. Une nouvelle phase de l’opération Résilience, lancée le 25 mars 2020, pour laquelle le Service de santé des Armées (SSA) sera appuyé par des renforts civils.

« Dans le cadre de l’effort collectif de l’État pour intensifier la campagne de vaccination, le ministère des Armées se met aujourd’hui en ordre de bataille pour intensifier sa contribution », déclarait le ministère des Armées dans un communiqué dans un communiqué diffusé hier.

Seul le HIA Desgenettes de Lyon ne sera pas mobilisé, du moins pour l’instant. Une fois pleinement opérationnels, les hôpitaux concernés devraient être en mesure d’administrer jusqu’à 50 000 doses par semaine, ou un millier de doses en moyenne par jour et par hôpital.

La réponse des Armées se veut graduelle, celles-ci devant « se tenir prêtes à déployer des centres militaires de vaccination en région, en fonction des besoins exprimés par le Ministère de la Santé et des Solidarités ». Ces centres seront gérés et organisés par les militaires.

La localisation de ces centres sera déterminée en coordination avec les préfectures et Autorités régionales de santé (ARS). Cette option avait été évoquée fin mars par la Ministre déléguée auprès de la ministre des Armées, Geneviève Darrieussecq, selon qui jusqu’à huit centres de ce type pourraient être déployés « en appui de la médecine de ville ». Cet effort supplémentaire permettrait alors aux Armées de relever leur objectif de vaccination à 110 000 doses par semaine.

VOUS POUVEZ SUIVRE REGULIEREMENT DES INFOS DEFENSE A L'ADRESSE

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Revue de presse «Défense»

(contact : adulou@numericable.fr)

Votre avis nous intéresse : si vous voulez réagir à un article de la Revue de presse, vous pouvez soit contacter directement le responsable de thème de Défense soit réagir en adressant un courriel à l’adresse indiquée ci-dessus.L’équipe de la Revue de presse Défense vous remercie de votre confianceet de votre intérêt pour son travail, toutes vos suggestions sont les bienvenues.

Cette revue de presse paraît désormais sur le site de l’UNION-IHEDN, à l’adresse :

http://www.union-ihedn.org/les-actualites/revue-de-presse/

page des armees mise à jour le 15/10/2022

Florence Parly: «Nous ne nous interdisons pas d’utiliser le Cyber en mode attaque»

La ministre des armées, invitée du Club de l’économie du «Monde », jeudi 11mars, est revenue notamment sur les récentes tensions entre puissances dans le domaine du Cyber et les difficultés du programme européen sur l’avion du futur.Face à un contexte géopolitique et économique tendu, la ministre des armées est revenue, jeudi 11mars, sur la situation de la filière industrielle française, sur la difficulté de bâtir une défense européenne commune autour notamment de l’avion de combat du futur et sur l’extension des nouvelles menaces, particulièrement dans le cyberespace.

L’avion de combat du futur

«C’est en juillet 2017 que la chancelière [allemande], Angela Merkel, et le président de la République [Emmanuel Macron] ont décidé de lancer ce projet de système de combat aérien connecté du futur. L’objectif est, notamment, de pouvoir commencer à remplacer nos avions Rafale à partir de 2040. Et, pour cela, il faut pouvoir disposer d’un démonstrateur [prototype] capable de faire son premier vol dès 2026. Il ne faut pas s’endormir. Les industriels, notamment Airbus et Dassault, discutent entre eux.Avec ma collègue ministre de la défense allemande [Annegret Kramp-Karrenbauer], nous leur avons demandé de poursuivre les discussions, sans perdre de vue les deux grands principes qui ont été posés par le président de la République et la chancelière dès le départ. Le premier, c’est qu’il faut identifier des responsables sur les différents chantiers de ce programme. Évitons de reproduire les erreurs commises dans le passé, comme avec l’A400M.Le deuxième grand principe sur lequel on ne peut pas transiger, c’est le fait que sur chacun des lots, sur chacune des technologies, nous soyons absolument certains que c’est le meilleur qui est en charge. Autrement dit, on ne peut pas, pour des raisons de stricte répartition de la charge, se dire: “Bon, tant pis, on va confier cela à tel industriel. Ce n’est pas le meilleur, mais c’est politique…Il faut que ces investissements puissent contribuer à développer une industrie de défense européenne. Prenez l’exemple du drone, développé en coopération entre la France, l’Allemagne, l’Italie et l’Espagne. Voilà un projet qui est sur le point d’aboutir [en2028]. Je ne vois aucune raison de ne pas pouvoir répliquer de telles bonnes pratiques.

Cybermenace

«La loi de programmation militaire prévoit non seulement des investissements massifs pour ce qui concerne le spatial, avec le renouvellement de la totalité de nos capacités spatiales, mais aussi pour ce qui concerne le Cyber. Nous avons besoin de cybercombattants. L’objectif est d’accroître de 1000 cybercombattants notre force et d’avoir, en 2025, 4000cybercombattants.Quasiment chaque mois nous voyons de nouvelles attaques. Encore cette semaine [à Oloron-Sainte-Marie dans les Pyrénées-Atlantiques, lundi 8 mars], un troisième hôpital a été attaqué. Selon l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information [Anssi], le nombre d’événements ou d’attaques a été multiplié par quatre entre 2019 et 2020. C’est l’ordre de grandeur que nous constatons aussi au ministère des armées, donc il faut pouvoir se protéger. Il faut aussi pouvoir riposter.Non seulement nous avons une stratégie dans le domaine de la défense, mais nous ne nous interdisons pas d’utiliser le Cyber en mode attaque. Et le chef d’état-major des armées a expliqué comment le Cyber est une arme qui vient soutenir les armements conventionnels et que nous utilisons déjà sur des théâtres d’opérations extérieures. Nous ne nous interdisons rien et nous souhaitons pouvoir conserver notre liberté d’appréciation dans tous ces domaines, y compris celui de l’attribution [des responsabilités des attaques]. »

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Fuite de données dans l'armée française, des centaines de militaires compromis?

Selon le site spécialisé Intelligence Online, cette fuite concerne notamment des agents de la DGSE.
L'armée française, y compris les services de renseignement extérieur, ont été concernés par le récent piratage des coordonnées de près de 500.000 personnes comprenant coordonnées et données médicales sensibles, affirme jeudi le site spécialisé Intelligence Online. "La base de données contient, selon nos relevés, les mêmes données d'au moins 1.767 militaires.Ces derniers sont identifiables par leur affiliation à la Caisse nationale militaire de sécurité sociale de Toulon", assure IOL.Fuite massive de données médicales: enquête judiciaire ouverte à Paris Fuite de données médicales en France: la Cnil lance des investigationsOrange avec Media Services, publié le jeudi 04 mars 2021 à 21h30

Selon le site spécialisé Intelligence Online, cette fuite concerne notamment des agents de la DGSE.
L'armée française, y compris les services de renseignement extérieur, ont été concernés par le récent piratage des coordonnées de près de 500.000 personnes comprenant coordonnées et données médicales sensibles, affirme jeudi le site spécialisé Intelligence Online. "La base de données contient, selon nos relevés, les mêmes données d'au moins 1.767 militaires.Ces derniers sont identifiables par leur affiliation à la Caisse nationale militaire de sécurité sociale de Toulon", assure IOL.Comment deux agents de la DGSE se sont retrouvés sous les verrous après une rocambolesque tentative d'assassinatpar franceinfo

"Mille d'entre eux sont localisés à Evreux, dont plus de 230 sont explicitement rattachés à la base aérienne 105 (...). Cette dernière abrite trois escadres, dont le GAM-56 (Groupe aérien mixte 56 Vaucluse), l'unité aérienne du service action de la DGSE", la Direction générale de la sécurité extérieure.
Ni le ministère des Armées, ni la DGSE n'ont répondu aux sollicitations de l'AFP. Celle-ci avait pu constater fin février qu'un fichier comportant 491.840 noms, associés à des coordonnées (adresse postale, téléphone, email) et un numéro d'immatriculation à la sécurité sociale, circulait librement sur au moins un forum référencé par des moteurs de recherche.
Ces noms étaient parfois accompagnés d'indications sur le groupe sanguin, le médecin traitant ou la mutuelle, de mots de passe, ou encore de commentaires sur l'état de santé, des traitements médicamenteux ou des pathologies. Selon la rubrique de vérification Checknews du quotidien Libération, les données correspondent à des prélèvements effectués entre 2015 et octobre 2020.
Adresses postales, numéros de téléphone...
"La fuite de données est en cours d'investigation par l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (Anssi), le Ministère des Solidarités et de la Santé, en lien avec la Cnil et l'éditeur de logiciel (...)", avait indiqué à l'AFP la Direction générale de la santé. Une enquête judiciaire a été confiée à la section cybercriminalité du parquet de Paris.
Selon IOL, "si la base de données ne contient pas les adresses courriel ni les mots de passe, ce qui permet aux armées de rester sereines quant à l'intégrité de leurs systèmes d'information, elle contient tout de même des informations personnelles telle que les numéros de sécurité sociale, adresses postales, dates de naissance ou encore numéros de téléphone portable.
"De quoi (...) faire craindre de futures attaques de phishing sur cette base très sensible", insiste le site spécialisé.

 

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page des armees mise à jour le 15/10/2022

L'ARTILLERIE

Clic ici

 

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la récupération des restes des tours jumelles

du World Trade Center

  Voici le USS New York fait avec l'acier du World Trade Center !!!!!
Regardez cette beauté !Remarquez les deux tours jumelles sur le dessus.....!

 

Le USS New York a été construit avec 24

tonnes de  ferraille provenant du World Trade

Center.
  C'est le cinquième d'une nouvelle classe de navires de guerre dessinés pour des missions antiterroristes   spécialement.
   Il transportera un équipage de 360 marins et 700 Marines prêts au combat, déposés au sol par hélicoptères et des barges d'assaut. L'acier du World Trade Center a été fondu dans une fonderie à Amite, Los Angeles afin de mouler la proue du navire.
  Quand il fut coulé dans les moules le 9 septembre 2003, les braves travailleurs ont traité l'acier avec le plus grand respect comme l'a souligné le capitaine du navire Kevin Wensing qui était là sur place.
    Ce fut un moment spirituel pour chacun de ceux qui étaient présents"
   Junior Chavers, gérant des opérations de la fonderie, dit que lorsque l'acier du Trade Center arriva en premier, il le toucha avec sa main en disant ": Les cheveux se sont dressés sur ma tête". Cela avait une grande signification pour nous tous.
    "Ils nous ont mis à genoux. Ils ne pourront pas nous garder ainsi. Nous allons nous relever."
   La devise du navire :  "Never Forget" 

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JOURNÉE DES FEMMES MILITAIRES

 

VIDÉO ICI

 

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LA MAINTENANCE DES MATERIELS

 

Le matériel militaire est soumis à rude épreuve. Quand il n'est pas engagé au combat à l'extérieur de nos frontières, il sert sur le territoire national pour l'entraînement des troupes. Ce mois-ci, les équipes du Journal de la Défense, vous invitent à partir à la rencontre des maintenanciers des armées et à découvrir comment ils se sont adaptés aux nouveaux défis du maintien en condition opérationnelle.

clic ci dessous

VIDÉO

 

 

 

 

 

Budget 2021 : 39,2 milliards d’euros alloués au

ministère des Armées

 

Mise à jour  : 18/12/2020 - Auteur : La Rédaction - Direction : DICoD

Le 17 décembre, l’Assemblée nationale a adopté le budget 2021. La part allouée au ministère des Armées augmente d'1,7 milliard d’euros par rapport au budget voté l'an dernier, soit une hausse de 4,5 %, conformément à la trajectoire prévue par la Loi de programmation militaire (LPM) 2019-2025.

Les grands axes du budget du ministère des Armées sont, en premier lieu, la montée en puissance des équipements majeurs avec notamment 157 blindés Griffon et 20 Jaguar pour l’armée de Terre, une nouvelle Frégate multi-missions (FREMM) pour la Marine nationale et trois nouveaux avions MRTT Phénix pour l’armée de l’Air et de l’Espace.

S’ajoutent à cela le soutien à l’économie française et au dynamisme des territoires, avec une attention particulière aux PME et aux jeunes startups, ainsi qu’un effort d’investissement conséquent en matière d’innovation, de recrutement (embauche de 27 000 personnes, dans le renseignement et la cyberdéfense, notamment) et pour le plan Famille. C’est dans le cadre de ce plan que 237 millions d’euros, soit 60 millions de plus qu’en 2020, seront consacrés à l’amélioration des conditions d’hébergement des militaires et permettront de lancer la création de 850 places et la réhabilitation de 1400 autres.

Ce budget 2021 est ainsi un budget de constance, de confiance et de relance. Il met à la disposition des forces armées des matériels novateurs qui leur permettront de mener au mieux leurs missions de protection des Français sur le territoire national et à l’étranger, en opérations extérieures notamment. Il aidera en outre à soutenir l’économie, par la création d’emplois dans l’industrie de défense sur l’ensemble du territoire.

clic ci dessous

VIDÉO BUDGET COMMENT CA MARCHE

 

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École Militaire à BOURGES !

Le général Éric Laval (à gauche) et le général Frédéric Sabia, actuel commandant des EMB, devant la tour de commandement qui doit être totalement rénovée d’ici la fin 2023. © Pierrick DELOBELLE

 

Les Écoles militaires de Bourges (EMB) vivent à l’heure des grands chantiers. Outre la rénovation complète de la tour de commandement dès 2021, les EMB attendent la confirmation de la création, sur leur site, de l’école technique des sous-officiers et l’arrivée de stagiaires belges. Vendredi dernier, Yann Galut, maire de Bourges, et Irène Félix, présidente de l’agglomération Bourges plus, se sont fait présenter ces différents dossiers.
C’est une tour de commandement vide qui accueille actuellement le visiteur des Écoles militaires de Bourges (EMB). Cette tour n’est plus utilisée, au rez-de-chaussée, que pour le fonctionnement du mess, tandis que, dans les étages, les bureaux et locaux du commandement ont été vidés dès le mois de juillet dernier de leurs mobiliers et de leurs occupants.

Le général Baldi a quitté les Écoles militaires de Bourges pour Tours le 31 juillet 2020

Les travaux de rénovation devaient commencer en septembre dernier. Ils ont été retardés par la pandémie de coronavirus, puis, un temps, remis en cause. Le plan de relance économique lancé du gouvernement a finalement sauvé la tour : si tout se passe comme prévu, les travaux de rénovation chiffrés entre 6 et 7 millions d’euros (ME) sont programmés pour débuter en 2021 et être terminés en 2023.

La rénovation de la tour comme symbole
Et cette tour, souligne le général Frédéric Sabia, commandant des EMB et de l’école du train et de la logistique opérationnelle, « restera une tour de commandement ».

Pour autant, même si cette tour doit sa rénovation à la mise en place du plan de relance économique, sa restauration s’imposait pour libérer les locaux qu’occupent actuellement le commandement et ses services. Car il est fortement envisagé que les Écoles militaires de Bourges montent prochainement en puissance.

« Le général d’armée Thierry Burkhard, chef d’état-major de l’armée de terre, a en effet décidé, le 17 décembre dernier, que l’école technique de sous-officiers (ETSO) sera créée à Bourges, au sein des EMB », souligne le général Sabia.


Et si, le 17 février prochain, cette décision est confirmée, cette nouvelle école montera progressivement en puissance, calibrée pour accueillir à terme 500 stagiaires par an, qui seront encadrés par 200 à 250 personnels. « C’est comme un lycée militaire, un lycée professionnel, précise le général Éric Laval, commandant de l’école du matériel qui doit succéder au général Sabia à la tête des EMB. Même si cet accueil de jeunes stagiaires se fait de façon progressive, nous devons libérer nos locaux actuels : ils étaient auparavant des salles de cours et doivent devenir des chambres ou des locaux d’enseignement. Sur ce site, nous avons du bâti, mais il va falloir construire. »

L’objectif de 500 nouveaux stagiaires
- Dans le cadre du contrat CaMo (*), l’arrivée de stagiaires sous-officiers belges - une cinquantaine par an dès 2025 - est dans la même dynamique. À la différence près, souligne le général Sabia, qu’« il faudra commencer par former les formateurs ». Et qu’on est ici à la pointe de la technique (programme Scorpion) que doivent maîtriser les spécialistes du matériel. 

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Nouveau calculateur pour la solde des militaires

Source Solde devient le calculateur unique des rémunérations des militaires
 Lundi 8 février 2021, Florence Parly, ministre des Armées, se rendra au Centre interarmées du soutien solde et administration du personnel (CISAP) pour saluer la réussite de la mise en place du calculateur Source Solde.
 Depuis 2019, le nouveau calculateur a été successivement mis en service avec succès au sein de la Marine nationale, puis de l’armée de Terre, et enfin de l’armée de l’Air et de l’Espace et du Service de santé des armées (SSA).
 Source Solde permet de déterminer, calculer et suivre les soldes de l’ensemble des militaires des armées, soit environ 250 000 personnes.
2021 : année de la sortie définitive de Louvois
Au premier janvier 2021, le calculateur Source Solde assure le paiement des soldes de l’armée de l’Air et de l’Espace et du service de santé des armées. Comme lors des deux premières bascules (en mai 2019 pour la Marine nationale et en avril 2020 pour l’armée de Terre), le logiciel a donné toute satisfaction. L’ensemble des armées, directions et services ont à présent basculé sur Source Solde, qui devient donc le calculateur unique de la solde des 250 000 militaires.
Entamés en 2015, les travaux sur le logiciel Source Solde ont conduit au remplacement des systèmes utilisés jusqu’à présent (Louvois et GDS) pour calculer les soldes et restituer les dépenses relatives à la masse salariale, à l’aide des données budgétaires et comptables interarmées.
Testé et approuvé
Source Solde se base sur un logiciel reconnu et éprouvé (HR Access), déjà utilisé dans les secteurs public et privé (EDF, SNCF, RATP, Naval Group, Vinci Energies, BNP, etc.).
Comme pour un programme d’armement majeur, ce projet a été conduit par phases successives de tests, de contrôles et d’analyses afin de sécuriser les bascules et de s’assurer, à chaque fois et en grandeur nature, que toutes les spécificités de l’emploi concerné étaient prises en compte. Les gestionnaires en ressources humaines sont accompagnés par des experts, dans le souci constant d’assurer une continuité dans le soutien et la solde des militaires.
Déjà très engagé pour pallier les dysfonctionnements du logiciel Louvois, le Service du commissariat des armées (SCA), chargé de l’exécution du service de la solde, a été l’un des acteurs majeurs du remplacement de Louvois par Source Solde, en particulier grâce au CISAP.

 

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